La tempête
Une force terrible s’abat sur les océans
brisant la mer en éclats blancs.
Les pétroliers sombres créatures
affrontent les déferlantes.
Malheur à l’arrondi de la côte si pur,
malheur à ce monde de sable si plan
que l’angle de la vague dément,
malheur à toute cette vie invisible
si l’un de ces monstres rompt son câble.
A quoi songe l’homme prétentieux
qu’il veuille toujours défier les cieux.
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Oh ce que j’aime ce ciel tourmenté +++++
Doux dimanche.
PS : je vais essayer de commencer à lire ton texte cet après-midi, profitant de ce temps pourri.
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Et j’ai beaucoup aimé tes « graines étoilées » +++++
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